Guerre en Ukraine. Un numéro vert pour les volontaires à l’accueil de réfugiés en Occitanie envisagé par Carole Delga
La présidente de la Région Occitanie, Carole Delga, prévoit de mettre en place un numéro vert pour organiser l’accueil de réfugiés d’Ukraine en Occitanie.
Le soutien envers les Ukrainiens s’organise. La Russie attaque leur pays depuis le jeudi 24 février. L’accueil de réfugiés est de plus en plus évoqué. D’ailleurs, la présidente de la région Occitanie prévoit de mettre en place un numéro vert afin que les personnes volontaires pour héberger un réfugié en provenance d’Ukraine se fassent connaître.
“Nous allons aider les communes et les associations qui vont accueillir des réfugiés”, a indiqué Carole Delga depuis le Salon de l’agriculture à Paris, sur France bleu mercredi 2 mars. “Je vais mettre en place un numéro vert et une adresse email pour que les habitants d’Occitanie qui souhaitent héberger des réfugiés Ukrainiens puissent se manifester. Nous allons travailler avec le gouvernement pour identifier les filières économiques qui seront touchées par cette guerre, pour mettre en place des dispositifs d’aide aux entreprises.”
En Occitanie, Toulouse envisage d’accueillir des réfugiés d’Ukraine
En Occitanie, la ville de Toulouse fait partie des communes qui envisagent de recevoir des réfugiés en provenance d’Ukraine. “Une page dédiée à l’accueil des réfugiés va être créée (sur le site de la mairie, ndlr) pour répondre à l’élan de solidarité qui se manifeste depuis quelques jours assortis de propositions” annonçait la municipalité mardi 1er mars, bien que “pour le moment, aucune demande d’accueil de réfugiés ukrainiens n’est parvenue jusqu’à la collectivité”. Elle veut cependant anticiper. Un recensement des possibilités d’accueil et d’hébergement est donc en cours avec les bailleurs sociaux toulousains notamment.
En outre, Carole Delga fait savoir qu’ “avec les autres régions de France, nous allons abonder dans un fond qui sera créé par le ministère des Affaires étrangères pour pouvoir aider les populations sur place. Nous allons y mettre autour de 300 000 euros.”
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Bonjour,
Suite à ma proposition d’hébergement à 20 km de Toulouse , gare à 4 km (maison à la campagne avec1 chambre, salle d’eau indépendante et partage de mon atelier de peintures en tant qu’artiste peintre). Ma proposition a été refusée par la préfecture de Toulouse qui ne s’occupe que de l’agglomération.
La mairie prés de chez moi, m’a fait comprendre qu’il ne s’occupe pas de cette question d’hébergement.
J’ai essayé d’avoir un interlocuteur, mais personne pour répondre à ma proposition.
QUEL DOMMAGE, le lieu proposé serait idéal pour un artiste, mais je n’ai eu qu’une réponse administrative froide et sans autre lien ni explication.
Je suis tellement déçue que face à ma proposition, je n’ai eu qu’une porte close..
Donc je viens vers vous si un artiste ukrainien cherche un endroit où il puisse continuer son art dans les conditions si dures qu’ils vivent, nous pouvons l’aider
Cordialement
MME Vignat Elisabeth
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Comme d’habitude les élus se gargarisent de déclarations sans effets réels. L’administration a 10 trains de retard. J’accueille avec mon épouse 3 réfugiées d’Ukraine avec une enfant de 4 ans. ( famille et amies d’enfance de mon épouse)
J’ai demandé à la mairie de toulouse comment scolariser la petite. Pas encore informé, on vous revient !!
La petite sa été inscrite dans un établissement catholique privé qui l’a acceuliii sans difficultés.
Il y a une famille de 2 adultes et un adolescent qui voudrait rejoindre toulouse. Mais ma maison est pleine.
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