L’Amérique latine revient à Toulouse à l’occasion du festival CinéLatino
Depuis le 24 mars et jusqu’au 2 avril, le CinéLatino revient à Toulouse pour sa 35e édition, avec une programmation de films inédits et une ouverture en grandes pompes à trois endroits de Toulouse.
Durant 10 jours, depuis le 24 mars et jusqu’au 2 avril, le festival CinéLatino revient pour la 35e fois à Toulouse. La Cinémathèque, le cinéma ABC et l’American Cosmograph étaient les trois lieux d’ouverture du festival. Vivez au rythme latino avec plus de 100 films, de nombreux échanges avec les cinéastes venus spécialement pour l’occasion, des rencontres, des concerts, des films pour tous les publics: fictions, documentaires, longs et courts métrages, cinéma d’auteur, social, de genre, grands succès populaires.
Ce sera l’occasion de plonger dans des films inédits, premières européennes ou nationales (sections Compétitions et Découvertes), et de profiter des séances de rattrapage des films sortis dans l’année (section Reprises). Ce sera également l’occasion de voyager, d’explorer au travers du grand écran les thématiques de la Muestra : « Cinéastes colombiens contemporains », « Cinéma et politique : Brésil », « actrices-réalisatrices » et « Otra Mirada : Tatiana Huezo ».
Au delà des nouveautés, les sections incontournables qui font le sel de ce festival comme “Jeudi des Abattoirs”, “Tango”, “Jeune Public” et “Panorama des associations” seront présentes.
Une ouverture du CinéLatino en grande pompes
Hier, vendredi 24 mars avait lieu l’ouverture du Festival CinéLatino, et cette année ce ne sont pas deux films qui ont été présentés comme c’est de coutume mais bien trois. « Los reyes del mundo », de la réalisatrice colombienne Laura Mora (présente pour l’occasion) était projeté au Cosmograph. Une avant-première de luxe puisque le film ne sortira dans les salles obscures que le 29 mars. Un voyage dans les rues de Medellin au côté de cinq enfants colombiens.
Le cinéma ABC diffusait « Vicenta B » pour un voyage à Cuba et plus précisément La Havane, tandis que le documentaire de la Brésilienne Maria Augusta Ramos « Amigo secreto » était diffusé à la Cinémathèque.
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