Après avoir éliminé Blagnac aux tirs au but, Revel va disputer les 32e de finale de la Coupe de France de football face au PSG le 7 janvier prochain, mais pour l’heure, on ne sait pas encore où ; le stade de Revel étant bien trop petit pour accueillir une telle rencontre, le club est à la recherche d’une alternative en région.
Mis à jour le 14/12/2023
1 500 places. C’est la capacité du stade municipal de Revel. Une jauge bien trop basse pour prétendre accueillir les 32e de finale de la Coupe de France qui opposera l’US Revel au Paris-Saint-Germain (PSG) le 7 janvier prochain. Sans compter que l’enceinte ne dispose pas des homologations nécessaires aux matchs de haut niveau. Alors, depuis le tirage au sort, qui a eu lieu le 11 décembre dernier, et l’annonce de cette incroyable affiche, les dirigeants du club s’activent pour trouver une alternative et pouvoir recevoir les joueurs stars parisiens comme il se doit. Et ils l’assurent, leur décision se portera forcément sur un complexe de la région, pour permettre aux supporters d’assister à cet événement :
Plusieurs options s’offrent à l’US Revel, mais encore faut-il que les stades envisagés soient disponibles le 7 janvier. Deux choix seraient alors privilégiés par le club : le stade Pierre-Fabre à Castres et le Stadium de Toulouse. Le premier, qui a l’habitude d’accueillir des rencontres de rugby de Top14, affiche une capacité de près de 13 000 places. Il a pour atout de disposer de tribunes proches de la pelouse. Mais de nombreux aménagements, soumis à la validation de la Fédération française de football, devront y être consentis puisque le terrain n’est pas adapté à des matchs de football. Quant au second, qui peut accueillir 33 000 personnes, il est plus éloigné de Revel, mais a l’avantage d’être déjà aux normes exigées par la FFF et permettrait de garantir au plus nombre de pouvoir assister à l’événement.
Pour l’instant, rien n’est acté, mais les dirigeants pencheraient cependant pour le stade de Castres, qui correspondrait davantage aux prétentions revéloises.
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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