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Seine-Saint-Denis. 211 pompiers mobilisés pour un incendie d’entrepôt à Stains

Nicolas Belaubre

7 janvier 2022 - 15:53

211 pompiers ont été mobilisés pour éteindre un incendie qui s’est déclaré, dans la nuit du jeudi 6 au vendredi 7 janvier, dans un entrepôt à Stains en Seine-Saint-Denis. Près de 17 000 mètres carrés de bâtiments ont été ravagées.

sapeurs pompiers paris — Sapeur pompiers de Paris CC Alf van Beem

19 000 mètres carrés d’un entrepôt de Stains, en Seine-Saint-Denis, sont partis en fumée ce matin, dans un important incendie. Plus de 200 pompiers ont du être mobilisés pour circonscrire l’incendie qui, malgré d’importants dégâts n’a pas fait de victimes. Le feu s’est déclaré dans la nuit du jeudi 6 décembre au vendredi 7 décembre, aux alentours de 3 heures du matin, dans un hangar de stockage d’une zone industrielle, avenue Charles de Gaulle.

Intervention des @PompiersParis en cours à #Stains, av. Charles de Gaulle, pour un #incendie sur un site de 19000m² composé d'entrepôts et de bureaux
👉 Pas de victime, ni de propagation du feu
👉 211 pompiers de 26 centres de secours actuellement mobilisés
👉 Éviter le secteur

— Préfet de la Seine-Saint-Denis (@Prefet93) January 7, 2022

L’origine de l’incendie de l’entrepôt de Stains pas encore connue

En fin de journée, le feu était circonscrit mais pas encore éteint. Aucun matériel sensibles ou toxique n’était entreposé dans les bâtiments sinistrés, les fumées n’inquiètent pas les autorités et ne perturbent ni le trafic aérien ni le transport ferroviaire. À ce stade, l’origine du sinistre n’est toujours pas connue.

« La structure est fragilisée et une partie s’est effondrée », a précisé la Brigade de Sapeurs Pompiers de Paris au journal Ouest France. Afin de sécuriser des compartiments du bâtiment, les pompiers de Paris ont du ouvrir des ouvertures à l’aide de tronçonneuses et utiliser le Robot Rex, un robot équipé d’une lance permettant de progresser au cœur du sinistre « sans engager de moyens humains ».

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Nicolas Belaubre

Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.

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