La grande famille du rugby français se rassemble dans l’Aveyron. Pour la 17e édition des “Rencontres terrain favorable”, organisée par la Ligue nationale de rugby (LNR), plusieurs anciens rugbymen seront présents à Onet-le-Château ces mercredi 24 et jeudi 25 avril.
Favoriser la rencontre entre professionnels du rugby et passionnés du ballon ovale. C’est tout l’objectif des “Rencontres terrain favorable”, organisées par la Ligue nationale de rugby (LNR) et la Société Générale. Un événement qui, après Annecy et Rennes, finit sa tournée près de Rodez ces mercredi 24 et jeudi 25 avril.
Lors de ces deux journées, des ambassadeurs du rugby professionnel de TOP 14 et PRO D2 comme Philippe Saint-André, l’ancien sélectionneur du XV de France, mais aussi Julien Pierre et Damien Traille, ex-joueurs de rugby, et Vincent Blasco-Baque, arbitre, viendront à la rencontre de licenciés d’écoles de rugby de l’Aveyron et de jeunes en situation de handicap.
Tout d’abord, 208 enfants des clubs du Rodez Rugby, Lévézou Ségala Aveyron, Rugby Club Espalion Nord Aveyron, Haute Vallée de l’Aveyron, Avenir Villefranchois, Rugby Bassin Ouest Aveyron et Capdenac pourront profiter d’ateliers au complexe sportif du TRAUC à Onet-le-Château ce mercredi. « Il y aura une haie d’honneur et des matchs avec les éducateurs, notamment », précise Caroline Soumagne, responsable communication à la Société Générale Occitanie. Les enfants pourront également échanger avec les ambassadeurs présents et obtenir des dédicaces. À noter que cette journée sera accessible au grand public.
Le lendemain, la LNR a décidé de mettre en avant le handisport avec l’Institut d’éducation motrice (IEM) “Les babissous”. L’occasion pour 14 enfants en situation de handicap « de sortir de leur quotidien », exprime Jérôme Cazalbou, un des organisateurs de l’évènement et ancien demi de mêlée du Stade Toulousain. Les ambassadeurs du rugby échangeront avec eux à l’IEM “Les babissous” et participeront à des jeux avec le ballon ovale. « Ce sera essentiellement des passes et des touchers de balle », précise Jerôme Cazalbou.
Alex Jehanno
Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse
Cet article a été écrit par des élèves de l'Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse dans le cadre d'un partenariat avec le Journal Toulousain.
Voir les publications de l'auteur
Commentaires