Pour la deuxième année consécutive, la ville de Montauban se place dans le haut du classement des villes moyennes de France où il fait bon vivre. Et par la même occasion, la cité d’Ingres et de Bourdelle confirme sa première place des villes d’Occitanie.
Le Figaro magazine a classé les villes françaises selon neuf critères : le dynamisme
démographique, les performances économiques, les résultats scolaires, l’immobilier, l’offre
culturelle, sportive et de loisirs, le cadre de vie et la sécurité, les services de santé, le climat et les transports.
Ville attractive, jeune et dynamique, Montauban tire son épingle du jeu cette année encore dans ce palmarès des villes moyennes où il fait bon vivre.
Selon cette analyse, Montauban progresse avec une note générale de 15,44/20 qui place « la plus rose des villes roses » en 6e position sur plus d’une soixantaine de villes de 50 000 à 100 000 habitants (après une 7e position en 2020). Montauban reste ainsi plus que jamais la première des villes moyennes d’Occitanie.
Réalisé en pleine crise sanitaire, ce classement 2021 confirme que les villes moyennes, belles
alternatives aux métropoles, ont actuellement la préférence des Français, surtout si comme
Montauban elles gravitent à proximité d’une de ces grandes villes.
Basée sur des données fournies par l’INSEE, l’analyse du Figaro fait ressortir les atouts
de Montauban : cette véritable ville à la campagne offre en effet un cadre de vie apaisé qui assure aux familles travail et loisirs dans un environnement préservé.
La Ville propose en outre un très bon niveau de service public, des infrastructures municipales modernes et de nombreuses activités pour tous les publics. Si l’on y ajoute des prix immobiliers attractifs et une météo clémente, Montauban est un lieu de vie idéal pour les familles : ce n’est pas pour rien « qu’on ne devrait jamais quitter Montauban », comme le dit l’adage.
Source: communiqué de la mairie de Montauban
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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