Ce week-end du samedi 26 et dimanche 27 avril, la ville de Béziers devait accueillir des centaines de milliers de fêtards, à l’occasion d’une nouvelle saison de la Feria Off. L’événement est reporté à cause des prévisions météorologiques.
Le ciel pleure ce week-end à Béziers, pour la plus grande frustrations de ses habitants et des habitués qui se déplacent chaque année dans le Sud de la France, pour célébrer un avant-goût des grandes ferias estivales avec la Feria Off. La ville et ses arènes devaient être le théâtre de becerrada, bodega géante et plus encore.
Mais la Feria Off, prévue ces vendredi et samedi 26 et 27 avril, a été annulée. Deux jours de festivités reportés à une date encore méconnue du public. Pour cause, la météo annonce d’importantes intempéries. Un grand risque de pluie et des rafales de vent à plus de 60 kilomètres par heure sont attendues.
Alors qu’Olivier Margé, à la tête de la société Betarra, gestionnaire des arènes de Béziers, avait confié à Midi Libre le 12 avril dernier, qu’il attendait pour cette nouvelle édition de la Feria Off « de surpasser les chiffres » des années précédentes, ce n’est que partie remise. Si la nouvelle date de l’événement n’a pas encore été divulguée, le programme restera le même.
Ainsi, le “week-end taurin” aura lieu en partie sur le parvis des arènes. Le début des festivités sera marqué par l’annonce des cartels et la présentation de l’affiche de la Feria 2024 qui se tiendra du mercredi 14 au dimanche 18 août. La première soirée de fête sera rythmée par le DJ attitré de Betarra, Patrice Esposito. Pour la deuxième journée, la Feria Off donne rendez-vous dès 11h pour la représentation de trois élèves de l’école taurine locale. Luis Torres, Isaac Galvin et Clovis feront face à des taureaux âgés de deux ans. Du bétail de l’Astarac, dans une becerrade (course de taureaux pour apprentis toreros). La bodega géante ouvrira à 12h30.
Une restauration est prévue sur place pour patienter jusqu’à 17h, heure du Gala Taurin et moment phare du week-end. Il met en scène des figures familières des festivaliers, dont le novillero (torero qui n’est pas encore confirmé) Carlos Olsina et Christian Parejo.
Julie Rodriguez
Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse
Cet article a été écrit par des élèves de l'Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse dans le cadre d'un partenariat avec le Journal Toulousain.
Voir les publications de l'auteur
Commentaires