Organisé par la loge Athanor de l’Ordre mixte international “Le Droit humain”, une réunion ouverte aux non-initiés aura lieu ce samedi 27 avril, à Clairac, dans le Lot-et-Garonne ; l’occasion de découvrir l’univers de la franc-maçonnerie.
Ce samedi 27 avril, à Clairac, dans le Lot-et-Garonne, a lieu une réunion “Tenue blanche ouverte” (TBO). Un rassemblement, organisé à 15h par la loge Athanor de l’Ordre maçonnique mixte international “Le Droit humain”, accessible aux non-initiés ayant pour but de présenter la franc-maçonnerie au grand public, d’en expliquer le fonctionnement. L’objectif est de donner des clés de compréhension de cet univers qui peut paraître, pour certains, mystique. Pour précision, la loge Athanor, à l’initiative de cette rencontre n’a rien à voir avec celle démantelée il y a quatre ans et dont plusieurs membres doivent être jugés pour meurtre, tentative de meurtre, incendie volontaire…
La Tenue blanche ouverte de ce 27 avril aura pour thème : la mixité, le droit humain, et l’action du droit humain dans la société. La réunion sera présidée par Sylvain Zeghni, le Grand Maître national de l’Ordre mixte international “Le Droit Humain”. Il y reviendra sur un principe fondamental de la loge, « celui de Socrate : “Connais-toi toi-même” ! Raison pour laquelle on rentre dans la franc-maçonnerie », selon Laurent Batigne, membre de la loge Athanor.
Si la réunion est ouverte à tous, l’initiation maçonnique, elle, n’est envisageable qu’à partir de 18 ans. En plus de la majorité, d’autres conditions sont nécessaires pour intégrer une loge. Tout d’abord, la personne souhaitant y accéder doit envoyer une lettre de candidature, puis passer plusieurs types d’entretien pour enfin avoir accès à la dernière partie du processus, qui elle, n’est connue que des membres du groupe. L’appartenance au collectif nécessite cependant une certaine disponibilité et du travail régulier. Après avoir été accepté, l’initié devra consacrer environ deux soirs par semaine à la Franc-maçonnerie.
FALGUEROLLES Tom
Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse
Cet article a été écrit par des élèves de l'Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse dans le cadre d'un partenariat avec le Journal Toulousain.
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