En quelques heures, n’importe quel salarié peut acquérir les gestes de premiers secours et, qui sait, un jour, sauver un collègue.
Aucun prérequis n’est exigé à l’employé qui souhaiterait devenir sauveteur-secouriste du travail. Il devra seulement suivre une formation d’une durée minimum de 12 heures, puis des remises à niveau tous les deux ans. Celui-ci apprendra la conduite à tenir et les gestes de premiers secours, mais également à identifier les situations dangereuses au sein de son entreprise.
www.securite-secourisme-travail.com
Nicolas Belaubre
Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.
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Commentaires
Quali sante le 28/03/2024 à 16:36
Merci pour l'information. En effet, il est souvent bénéfique, en plus des situations de travail spécifiques requérant une obligation légale, d'avoir un SST (Sauveteur secouriste du travail) au sein de son personnel.
En effet, ce dernier est compétent pour administrer les premiers soins en attendant l'arrivée des secours. Aucune entreprise n'est à l'abri d'un employé victime d'un infarctus ou d'un accident vasculaire cérébral sur le lieu de travail.
Dans de tels cas, la présence d'un secouriste constitue une ressource indispensable et un facteur crucial pour la survie.