Rapprocher les citadins du végétal. Telle est l’ambition des Jardineries Truffaut. Au travers de son nouveau concept de boutique urbaine, le Truffaut Toulouse Grand Hôtel, l’enseigne souhaite se positionner au plus près des besoins de ses clients mais également devenir un exemple d’entreprise responsable.
DR
C’est en plein cœur de Toulouse, dans un lieu chargé d’histoire, que les Jardineries Truffaut ont implanté leur deuxième boutique urbaine. Elle est le fruit d’un travail de coconception entre des clients toulousains et des collaborateurs. Sur les 29 salariés, 7 ont été recrutés en interne et 14 l’ont été localement. Sous la magnifique verrière du Grand Hôtel, sur 1 200 m², se déploie une offre inédite, inventive et parfois exclusive, répondant en tous points aux attentes d’une clientèle citadine, active et passionnée de végétal. Ainsi, les Toulousains peuvent désormais découvrir un nouvel espace entièrement adapté à leurs besoins réunissant toute la gamme Truffaut, organisée en trois grands secteurs : jardinage & détente, bien-être des animaux, plantes & décoration de la maison.
Au-delà d’un éventail de produits variés et résolument tournés vers une volonté de végétalisation de la ville, les Jardineries Truffaut s’inscrivent elles-mêmes dans une démarche de protection de l’environnement et de développement durable. Pour cela, Truffaut a adopté le principe des “3R” : réduire-recycler-réutiliser. À commencer par le tri des déchets, politique mise en place par la marque depuis 2011.
À Toulouse, comme dans les autres magasins de l’enseigne, « les cartons, les palettes de bois, les plastiques et les déchets verts sont triés scrupuleusement pour être revalorisés », explique Christine Hennequin, directrice du Truffaut Toulouse Grand Hôtel, avant de préciser : « Depuis notre ouverture en mars dernier, la boutique a généré six tonnes de déchets. 100 % ont été triés via la société Paprec. »
Les emballages dits “de caisse” ont également été victimes de la chasse au gaspillage lancée par Truffaut. Depuis le début de l’année, la marque a banni les poches en plastiques. « Nous gardons des cabas en toile et n’utilisons plus que du papier kraft pour emballer les produits », témoigne la directrice de la boutique toulousaine.
Et pour aller encore plus loin, Truffaut teste, depuis 2009, les pots biodégradables pour limiter au maximum l’usage de plastique. À base de betteraves, d’amidon de céréales, d’épluchures de pomme de terre et, depuis le printemps dernier, de fibres de bois, cette nouvelle génération de pots se met directement en terre. « En plus d’être plus respectueuse de l’environnement, cette innovation permet de ne pas traumatiser la plante lors d’une replantation », détaille Christine Hennequin.
Limiter l’impact de ses produits et de son activité sur l’environnement est donc pour Truffaut une priorité. Un principe de base pour la marque dont la signature “Plus belle sera la Terre” affirme la volonté. Pour ce faire, elle utilise tous les moyens imaginables, jusqu’à son mode de livraison. Situé en plein centre-ville de la Ville rose, Truffaut Toulouse Grand Hôtel, profite de l’effet de proximité pour assurer, pour la première fois, l’approvisionnement de ses clients en vélo ou vélo-cargo, en collaboration avec la start-up AppliColis, spécialisée dans la livraison écologique urbaine.
DRDans cet objectif premier de respect de l’environnement, Truffaut s’engage dans la préservation de la biodiversité, notamment par sa large gamme végétale majoritairement certifiée “Fleurs de France”, et par la priorité donnée au bio pour le végétal alimentaire. Des vendeurs experts guident même les clients vers les soins des plantes respectueux de l’environnement. Truffaut n’oublie pas non plus la faune dans son action de protection de la biodiversité dans les jardins.
Mais en milieu urbain, cette perspective n’est pas toujours facile à atteindre. C’est pourquoi l’enseigne vient de lancer une nouvelle gamme d’abris à insectes destinée à attirer notamment ceux qui aideront à réguler les populations de ravageurs et à polliniser les fleurs et légumes, comme les coccinelles, les papillons, les chrysopes, les syrphes ou encore les abeilles. Une façon de jardiner écologiquement, une des valeurs fortes des Jardineries Truffaut.
Reconnecter l’Homme à la nature. Une démarche qui, pour Georges Truffaut, fondateur des jardineries éponymes, est une condition au bien-être. La Fondation de l’entreprise, créée en 2011, soutient financièrement les associations ou organismes à but non lucratif qui œuvrent en ce sens. Élaboration de jardins solidaires, projets liés aux soins et à la santé ou encore à l’insertion, autant d’initiatives qui correspondent aux valeurs de l’enseigne. En sept ans, pas moins de 300 projets ont ainsi été accompagnés par la Fondation Truffaut, dont 10 associations de l’agglomération toulousaine à l’image de Amisplégiques, Soliha 31 ou encore Green My City.
DR
Commentaires