Durant une heure, les lumières de la place du Capitole à Toulouse seront éteintes dans la soirée du samedi 25 mars pour l’Earth Hour.
C’est devenu un rendez-vous annuel. Durant une heure, les lumières de la place du Capitole seront éteintes dans la soirée du samedi 25 mars. Et cela n’aura rien à voir avec une énième coupure d’électricité pour protester contre la réforme des retraites. La ville de Toulouse va mettre une de ses cartes postales dans le noir entre 20h30 et 21h30 à l’occasion de l’Earth Hour, une action symbolique.
Organisée par WWF à l’échelle mondiale, cette action consiste à éteindre les lumières et à débrancher les appareils électriques non essentiels, pour une durée d’une heure. L’objectif est de promouvoir l’économie d’électricité, la réduction des émissions de gaz à effet de serre et la lutte contre le réchauffement climatique.
« De Singapour à Honolulu en passant par Sydney, Londres, Paris et New York, ce sont plus de 185 pays mobilisés chaque année. À cette occasion, l’éclairage de milliers de monuments, musées, stades est symboliquement coupé en soutien collectif à la protection de la planète », raconte la Mairie de Toulouse. « Chacun est également amené à se questionner sur son engagement individuel pour la planète. »
C’est à Sydney en Australie que cet événement a été organisé pour la première fois. Il a éteint les lumières de la ville en 2007. Depuis, partout sur la planète, des millions de personnes y participent.
Il est à noter que dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 mars, la France métropolitaine passe en heure d’été. Ainsi, à 2 heures du matin, il sera 3 heures. Ce changement vise à faire des économies d’énergie.
Bryan Faham
Bryan Faham écrit pour le Journal Toulousain depuis 2021. Formé à l’ISJT, il est passé par le France-Guyane, 20 minutes, La Tribune et Freshr.
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