Sénatrice de Haute-Garonne depuis septembre dernier et adjointe au maire de Toulouse, en charge des séniors, Brigitte Micouleau connaît bien les couloirs du Capitole. Et pour cause, elle y déambulait déjà du temps de Dominique Baudis et Philippe Douste-Blazy. Au détour d’un de ces couloirs, elle répond à nos questions… décalées.
La pire soirée que vous ayez connue ?
Une nuit douloureuse où mon fils a été hospitalisé il y a quelques semaines.
Un souvenir de ce que vous avez acheté après avoir touché votre premier salaire ?
J’avais 17 ans et je me souviens très bien d’avoir utilisé mon premier salaire pour m’acheter du maquillage. Un caprice de fille sûrement !
La situation la plus délicate que vous ayez connue ?
Je passe beaucoup de temps sur mon iPhone et il faut dire que les SMS facilitent beaucoup la vie sauf… quand vous vous trompez de destinataire. Envoyer un SMS par erreur à une personne qui ne devait surtout pas le lire et toujours un moment très délicat !
Le plat que vous détestez ?
La gastronomie française est tellement riche qu’il y a très peu de plats que je déteste : je suis une grande gourmande je pense !
Une recette de cuisine à nous conseiller ?
Le petit salé aux lentilles : un bon bouquet garni fait toute la différence, je vous le conseille !
Votre destination de vacances préférée ?
Chez moi et en famille. Que préférer d’autre qu’une soirée d’été avec mes enfants et mes petits-enfants ?
« L’hypocrisie m’est insupportable et je ne suis pas du genre à la cautionner »
Votre endroit préféré à Toulouse…
Le Pont-Neuf, ce mélange de brique et de pierre qui offre sur 220 mètres une vue sur des paysages magnifiques, la Garonne, la Prairie des Filtres, Saint-Cyprien…
Ce que vous ne supportez pas chez les autres ?
L’hypocrisie m’est insupportable et je ne suis pas du genre à la cautionner. À bon entendeur.
L’animal qui vous fait peur ?
Sans aucun doute, les serpents. Même de très loin, je ne les supporte pas.
Un souvenir de vacances ?
La Corse avec ses plages désertes et son eau à 30 degrés.
Un concert qui a marqué votre vie ?
Mon premier concert de Johnny Hallyday, quel artiste et quelle prestance !
Quel est votre plus grand regret ?
Aucun. Ni regret, ni remords.
Une remarque désobligeante qu’on vous a faite récemment ?
Les remarques désobligeantes, je ne les entends pas, je ne suis pas du genre à me laisser freiner par des gens désobligeants.
Votre film référence ?
« Le cercle des poètes disparus » de Peter Weir avec celui qui restera à mes yeux comme un des plus grands acteurs américains, Robin Williams.
Si la fin du monde approchait, que vous empresseriez-vous de faire?
Rassembler tous les miens et leur dire combien je les aime !
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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