L’Atelier santé ville du Grand Mirail a élaboré un livret sur le bon usage des écrans
Le livret ”Avec les écrans, comment je m’y prends” fait le point sur les risques liés à l’exposition aux écrans. Élaboré dans le cadre de l’Atelier santé Ville du Grand Mirail, cette brochure d’une trentaine de pages, démêle le vrai du faux et propose des solutions concrètes.
Comment faire un bon usage des écrans, se fixer des règles et s’y tenir ? Face à la diversité des supports et des pratiques, il est parfois difficile de trouver l’équilibre. Élaboré à partir de témoignages de parents, d’adolescents et de professionnels, le livret ”Avec les écrans, comment je m’y prends” entend proposer des repères fiables et des solutions concrètes.
« L’objectif était de présenter un ouvrage simple, accessible et pragmatique », assure Aurélie Enjalbert, formatrice spécialisée dans la prévention des risques psychosociaux, qui a été chargée de l’élaboration de cette brochure dans le cadre de l’Atelier santé ville du Grand Mirail. Une démarche initiée par le service communal d’hygiène et de santé de la mairie de Toulouse.
Des conseils concrets
Dans un premier temps, Aurélie Enjalbert a multiplié les interactions avec des habitants. « Nous avons ainsi pu faire émerger, collectivement, les enjeux principaux. Déterminer les pratiques, les problèmes rencontrés, et surtout partager les règles que ces derniers mettent déjà en place », détaille-t-elle. Autant de questions auxquelles elle s’est attachée, ensuite, à trouver des réponses scientifiquement étayées. Paramétrer ses appareils, sécuriser sa navigation internet, se défier en famille sur un jeu vidéo ou, au contraire, s’échapper au cours d’une ballade en vélo…
Cette brochure d’une trentaine de pages propose de nombreux tests, exercices et activités. « Nous ne voulions pas diaboliser les écrans mais, à l’inverse, mettre en perspective ce qu’ils apportent et les dangers », précise la formatrice, qui dévoile les principaux conseils : « On ne peut pas réguler le temps d’écran sans adapter les règles aux besoins et à la pratique de l’enfant. Pour cela, il est primordial de s’intéresser à ce qu’il fait. La discussion lui permet de verbaliser son expérience et de limiter les risques d’isolement. »
Nicolas Belaubre
Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.
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