La Seine-et-Marne va accueillir la deuxième étape du Tour de France Femmes 2022. Un parcours de 135 kilomètres qui mettra en avant « les richesse du département ».
Ce lundi 13 décembre, Jean-François Parigi, le président du conseil départemental de la Seine-et-Marne, a annoncé que le département accueillerait la deuxième étape du Tour de France Femmes. Cette épreuve de cyclisme sur route féminine qui se disputera pour la première fois du 24 au 31 juillet 2022 marque le retour de la version féminine de la Grande boucle après 6 ans d’absence et fait suite aux précédentes versions (Tour de France féminin, Grande boucle féminine ou Route de France féminine). Face aux maires des communes du département réunis au château de Blandy-les-Tours, Jean-François Parigi s’est donc félicité de la présence d’une « étape 100 % seine-et-marnaise » au tracé « qui met en avant les richesses du département ». Ainsi, le 25 juillet 2022, les concurrentes s’élanceront sur les routes de Seine-et-Marne et devront boucler un parcours de 135 kilomètres entre Meaux et Provins.
La deuxième étape du Tour de France féminin, dont le départ sera lancé au pied de la Tour Eiffel à Paris, sera donc 100 % seine-et-marnaise avec un départ dans la ville de Meaux et une arrivé dans la commune de Provins. Relativement plate, cette étape proposera en début de parcours le franchissement de la côte de Tigeaux (1,5 kilomètres à 4,7 %), la seule difficulté répertoriée. Ce qui laisse espérer une arrivée avec un sprint massif et, possiblement, un premier changement de maillot après les 12 boucles de la veille entre la Tour Eiffel et les Champs-Élysées.
Après 8 jours de course et 1029 kilomètres parcourus dans les régions Île-de-France, Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté, les cyclistes se disputeront la victoire finale au bout de la 8e étape entre Lure et la super Planche des Belles filles, en Haute-Saône dans le massif des Vosges.
Nicolas Belaubre
Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.
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