Bassiste du groupe Face-B, il est également co-président de l’association culturelle Progrès Son depuis 2014, collectif de musiciens aujourd’hui devenu un incontournable de la scène rock alternative toulousaine. Entre deux répétitions et un concert, il lâche ses instruments pour répondre à nos questions… décalées.
La pire soirée que vous ayez connue ?
J’ai trop tendance à me rappeler plus les bons souvenirs. Mais pour répondre je dirais : le soir de la mort de Michael Jackson. Triste nuit pour le « moonwalk ».
Un souvenir de ce que vous avez acheté après avoir touché votre premier salaire ?
Ma première basse. Une « type » jazz bass blanche. Un bon investissement.
La situation la plus délicate que vous ayez connue ?
Etre devant mon ordinateur et angoisser à la réponse d’une question pour une interview décalée.
Votre principale phobie ?
Je suis leucoséphobe (la crainte de la page blanche, ndlr).
Le plat que vous détestez ?
Aucun, j’adore manger. Mais s’il faut choisir, je dirais : les flageolets horribles en boîte… beurk…
Une recette de cuisine à nous conseiller ?
Huîtres & crépinettes. C’est de la chair à saucisse dans de la crépine que l’on fait cuire, accompagnée d’huîtres tout juste ouvertes (natures, vivantes).
« À partir du moment où les copains sont présents, c’est mon endroit préféré ! »
Votre destination de vacances préférée ?
De préférence des endroits sauvages… mais s’il faut choisir, je dirais « pas la Sologne ».
Votre endroit préféré à Toulouse…
À partir du moment où les copains sont présents, c’est mon endroit préféré.
Ce que vous ne supportez pas chez les autres ?
Les gens qui posent plein de questions, et la condescendance.
L’animal qui vous fait peur ?
Le mulot.
Un souvenir de vacances ?
Une boule de neige.
La carrière que vous n’auriez jamais pu embrasser ?
Celle de Larusso.
Un concert qui a marqué votre vie ?
Iggy Pop. (C’est vraiment pour choisir !)
Quel est votre plus grand regret ?
De ne pas avoir fait d’études, mais je vis dans le présent donc je ne regrette pas tellement les choses.
Une remarque désobligeante qu’on vous a faite récemment ?
« Tu devrais aller chez le coiffeur ». Mais c’était assez vrai.
Votre film référence ?
Toute la filmographie de Kubrick.
Si la fin du monde approchait, que vous empresseriez-vous de faire?
Faire l’amour, manger, boire, fumer, rire et écouter du rock.
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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