Tennis, ski, rugby… Judith Soula est passionnée de sport depuis sa plus tendre enfance. Celle qui « a toujours voulu devenir journaliste », est donc parvenue à mêler sa passion et sa profession. Elle fait ses armes à L’Equipe TV avant d’être débauchée par Canal + pour couvrir le rugby. Finalement, c’est sur Sud Radio que les aficionados la retrouvent tous les jours dans son émission “Rugby et compagnie”. D’habitude, c’est elle qui pose les questions. Cette fois, elle répond aux nôtres…
De quel luxe ne pourriez-vous pas vous passer ?
De ma voiture, je déteste les transports en commun !
Y a-t-il des sujets que vous vous interdisez d’aborder ?
Je m’interdis de parler de la tauromachie car pour moi c’est culturel ; j’y suis allée avec mon grand-père quand j’étais petite et je pense que c’est inutile d’essayer de convaincre ceux qui sont contre…
Pour décliner une invitation chez des amis, que prétextez-vous ?
Si je décline une invitation c’est que j’ai une bonne raison soit parce que je suis malade soit parce que je travaille mais je ne mens pas !
Quelle est votre chanson d’amour préférée ?
“L’hymne à l’amour” d’Edith Piaf.
Avec quelle personnalité aimeriez-vous échanger votre vie pour une journée ?
Pour une journée ? Avec un astronaute, histoire de voir comment c’est là haut !
À quelle occasion avez-vous menti pour la dernière fois ?
Je ne mens jamais.
À quelle occasion vous est-il arrivé de penser : « je n’y arriverai jamais ? »
Lors d’une randonnée en montagne, à Madagascar… Nous n’avions rien mangé, ni bu depuis vingt-quatre heures, mes tennis étaient troués et j’avais de l’asthme !
Pour vous faire plaisir, quel plat faut-il vous cuisiner ?
Une dorade à l’espagnole ou un poisson grillé.
Quel défaut jugez-vous rédhibitoire ?
L’hypocrisie ou la radinerie.
« Je jouerais au rugby, je pousserais en mêlée. »
Que feriez-vous si vous étiez, le temps d’une journée, dans un corps du sexe opposé ?
Je jouerais au rugby, je pousserais en mêlée.
Une chanson a-t-elle marqué votre vie ?
« Téléphone-moi » de Nicole Croisille… Mon premier amour.
Quel a été le moment le plus heureux de votre vie ?
La naissance de mon fils.
Quel serait votre pire cauchemar ?
Mon pire cauchemar : être entourée d’araignées. J’ai une véritable phobie de ces petites bêtes !
De quel objet personnel auriez-vous du mal à vous séparer ?
Ma montre.
Avez-vous une recette miracle contre le stress ?
Non et c’est bien dommage car je suis plutôt de nature stressée… sauf à l’antenne, j’aime le direct.
Quel est, pour vous, le plus grand luxe ?
Le plus grand luxe est de posséder un jet privé et ne plus faire la queue dans les aéroports.
Qu’est-ce qui vous pénalise le plus dans la vie ?
Ma nervosité parfois.
Qu’aimeriez-vous que l’on dise de vous après votre mort ?
Que j’étais la meilleure des mamans et une amie fidèle !
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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