Emmaüs fête ses 70 ans. Pour l’occasion, le Crédit Municipal de Toulouse organise une vente aux enchères solidaire, ce samedi 7 décembre à 14h30. Objets d’art, foulards de luxe ou objets de collection, 171 objets seront proposés au public.
Une machine à écrire Halda proposée lors de la vente aux enchères solidaire du Crédit municipal © CMPour les 70 ans de la fondation de la communauté d’Emmaüs par l’abbé Pierre, le Crédit Municipal de Toulouse organise une vente aux enchères solidaire. Samedi 7 décembre à partir de 14h30, 171 objets légués à l’association seront proposés au public, pour des mises à prix allant de quelques euros à quelques dizaines d’euros. Parmi eux, un lustre en fer forgé, un chien en bronze de Wagen, un vase en baccarat, des foulards Hermès, une machine à écrire Halda, une malle de campagne de militaire, des véhicules miniatures, ou encore de nombreux instruments de musique dont un trombone et une balalaïka.
Une bonne alternative à l’incontournable shopping de Noël ! Une alternative sociale, car tous les produits de la vente bénéficieront à SOS Famille Emmaüs, et durable puisque ces achats donneront une nouvelle vie à des objets vintages. Un retour aux sources, pour un Noël solidaire avec des cadeaux particulièrement originaux !
Pour le Crédit Municipal de Toulouse qui organise l’événement, cette vente aux enchères caritative est une grande première. Elle sera réalisée gracieusement par le commissaire-priseur Maître Jean-Louis Vedovato, sans frais vendeur ni frais acheteur. Elle va permettre à Emmaüs de valoriser pleinement les dons qui lui sont faits. Les objets proposés seront visibles sur place le matin même de 10h15 à 12h00, et dès à présent sur le catalogue mis en ligne sur le site internet du crédit municipal de Toulouse.
(Source : communiqué de presse)
Nicolas Belaubre
Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.
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