L’entreprise Paul Boyé Technologies, basée à Labarthe-sur-Lèze, commercialise BioX, un masque virucide. Désormais accessible au grand public, ce dernier détruit la Covid-19 et ses variants par simple contact.
Après avoir subi des essais cliniques, des tests en laboratoire de microbiologie et des expérimentations de la Direction générale de l’armement (DGA), le masque BioX peut désormais être commercialisé à destination du grand public. La particularité de ce produit ? Non seulement il fait barrière à la Covid-19 et à ses variants, mais en plus, il les détruit. “Après avoir été mis en contact avec le coronavirus, la réduction virale sur le masque est de 99% après une heure”, affirme le fabricant. Il n’est donc plus qu’un simple bouclier, mais une véritable arme contre la pandémie.
Fabriqué par l’entreprise Paul Boyé Technologies, basée à Labarthe-sur-Lèze, le masque BioX dispose d’une couche d’un principe actif, appelé lyse cellulaire, dans sa structure, qui casse la membrane du virus et le détruit. Ce nouveau produit va ainsi “permettre au grand public et aux professionnels de mieux se protéger”, explique la société. Une innovation qui solutionne également le problème des multiples manipulations. “Ce masque biocide s’auto-décontamine continuellement”, assure le fabricant.
Pour répondre aux besoins multiples de la population, Paul Boyé Technologies met à la vente deux types de protection BioX différents. Des masques chirurgicaux, destinés au grand public, qui restent indispensables en milieu fermé ou dans des lieux à forte concentration humaine comme les transports, les spectacles ou les rencontres sportives. Et des masques FFP2 visant les plus fragiles et tous ceux qui sont particulièrement exposés au virus ou en contact avec des populations à risque comme les personnels de santé.
Les masques BioX sont disponibles à la vente sur le site de l’entreprise. La boite de 50 masques chirurgicaux y est commercialisée 18 euros. Celle de 50 masques FFP2, 59 euros.
Source: communiqué de presse
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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