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Les 30 km/h rentrent en vigueur à Colomiers dès le 1er juillet

Journal Toulousain

26 juin 2024 - 11:59

Dès ce lundi 1^er juillet, la ville de Colomiers, au Nord de Toulouse, passe la majeure partie de ses rues à la vitesse de 30 km/h dans l’objectif affiché de « soutenir la transition écologique et la sécurité de tous ». Seules une vingtaine de voies restent à 50 km/h, on vous dit lesquelles.

Zone colomiers 30 km/h — La plupart des rues de Colomiers passent à 30 km/h cet été. ©Mikalai Kachanovich-shutterstock

Après Toulouse, c’est au tour de Colomiers de se mettre aux 30 kilomètres/heure en ville, et ce dès le lundi 1^er juillet pour une grande partie de ses rues. En réalité, seules une vingtaine d’axes, dont voici la liste, resteront à 50km/h :

l’avenue Salvador Alliende
le chemin de la Salvetat
le chemin d’El Pey
le chemin de Naudinat
le chemin de la Nasque
le chemin de Bordeblanque
le chemin de la Médune
l’avenue George Sand
l’avenue Hermès
l’avenue de Tournefeuille
le boulevard de l’Europe
le boulevard Auguste Ingres
le chemin de Tournefeuille
la route de Pibrac
le boulevard Victor Hugo
le boulevard de Sélery
le boulevard de Pibrac
la route de Cornebarrieu
le boulevard Mauric Gynfogel
le boulevard Corps-Franc Pommiès
l’avenue Jean Monnet
l’avenue Yves Brunaud
le boulevard Marcel Dassaut
l’allée de la Fontaine.

Une mesure environnementale et de sécurité

La maire de Colomiers, Karine Traval-Michelet, avait annoncé cette nouvelle réglementation au mois de février. La Ville entend confirmer son engagement pour la transition écologique en réduisant les gaz à effet de serre (GES) : « En abaissant la vitesse à 30 km/h, on limite les phases d’accélération et par conséquent les émissions de GES et de particules fines », explique Martine Berry-Sévennes, adjointe déléguée à la Transition écologique et aux mobilités. Enfin, la réduction de la vitesse sur une grande partie des axes permettra d’améliorer la sécurité de tous les usagers de la voirie, argumente la Municipalité.

Chloé Morand Bridet (Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse – ISJT)