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Toulouse : “Ligot”, ce nouveau restaurant aux saveurs aveyronnaises

Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse

8 mai 2024 - 11:28

Depuis un peu plus d’un mois, “Ligot”, un restaurant avec des produits 100% aveyronnais a ouvert ses portes place Saint-Georges à Toulouse. De quoi ravir les amateurs d’aligot.

La terrasse du restaurant “Ligot”, situé au 14 place Saint-Georges à Toulouse © Louise Viatgé

La générosité et la qualité gustative des plats. C’est ce qu’Alexandre Rousseau, adjoint de direction de Ligot, retient pour résumer l’esprit de son restaurant à l’esprit bistro vintage avec des touches de jaune et orange. Ici, ce qui est important c’est « que les gens repartent avec le sourire et le ventre bien rempli », comme Alexandre Rousseau aime à le dire.

À l’origine de “Ligot”, on retrouve Ronan Ballard. Le créateur du restaurant, âgé de 28 ans, appartient à la troisième génération de restaurateurs de sa famille. Il a lancé, cette année, deux restaurants “Ligot” : un à Millau et l’autre à Toulouse qui ont ouvert presque en même temps. Le premier portait auparavant le nom de “La Bocca Reva”, établissement tenu par les grands-parents et les parents de Ronan Ballard. Après avoir travaillé une dizaine d’années auprès de son père, il a donc repris le flambeau avec la volonté de donner une toute nouvelle identité au restaurant familial et de s’implanter, dans le même temps, à Toulouse.

L’intérieur du restaurant “Ligot” à Toulouse © Louise Viatgé

Des produits sélectionnés auprès des producteurs aveyronnais

À table, que ce soit à Millau ou dans la Ville rose, les produits font évidemment honneur au département de l’Aveyron. La viande vient de la maison Bousquet, le fromage des Bergers du Larzac et l’eau-de-vie et le ratafia fournis par la distillerie Les potions d’oc. Un mélange généreux de produits de qualité de l’entrée jusqu’au dessert. Vous pourrez ainsi déguster du magret de canard, de la saucisse avec de l’aligot, du rôti de bœuf, mais également de la mousse au chocolat ou de la brioche perdue… « En Aveyron on ne sait pas vraiment faire léger », plaisante Alexandre Rousseau. Et cela tombe bien car c’est justement ce que recherche la clientèle friande de ces plats typiques.

Louise Viatgé