Aide financière, exposition, sorties… Le JT a sélectionné des bons plans et des actions pour se libérer de la nicotine.
// Par Kenza Gros-Desormeaux
Patchs, gommes à mâcher, pastilles : cela peut coûter cher d’arrêter de fumer. Pour que l’argent ne soit pas un frein, l’Assurance maladie peut rembourser une partie de ces frais. Sur présentation d’une ordonnance, les substituts nicotiniques sont pris en charge à hauteur de 150 € par année civile. L’indemnisation se fait directement via la carte Vitale ou à l’aide d’une feuille de soins à transmettre à la Caisse primaire d’assurance maladie du bénéficiaire. À noter que le coût de ces substituts peut être amorti par une mutuelle ou une assurance complémentaire santé selon le contrat souscrit.
Aborder le thème du tabac à travers des peintures à l’encre de Chine. C’est ce que propose l’artiste Aline Gonzalez en exposant des portraits d’artistes ayant succombé à la nicotine. Une rétrospective réalisée en partenariat avec l’association Tabac&Liberté, à l’occasion de la Journée mondiale sans tabac. Au programme également : l’histoire du tabac et les dangers de sa consommation. L’événement a lieu à la salle d’exposition de la Communauté municipale de santéjusqu’à 6 juin.
Boire un café sans être fumeur passif, c’est possible. Un site internet ainsi qu’une application ont été créés pour sélectionner les terrasses de restaurants et de cafés totalement ou partiellement adaptées aux non-fumeurs. Une initiative du Ministère de la santé qui accompagne le lancement de l’opération « Ma terrasse sans tabac » en mars dernier. Le dispositif est présent dans plusieurs villes de France, dont Toulouse. Utile pour les personnes qui ne fument pas, mais aussi pour celles qui souhaitent arrêter ou ne pas rechuter.
http://materrassesanstabac.com
La rédaction
Le Journal toulousain est un média de solutions hebdomadaire régional, édité par la Scop News Medias 3.1 qui, à travers un dossier, développe les actualités et initiatives dans la région toulousaine. Il est le premier hebdomadaire à s'être lancé dans le journalisme de solutions en mars 2017.
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