Montpellier sera face à Perpignan pour le deuxième match de Top 14. Le coup d’envoi sera donné à 16h30, ce samedi 14 septembre au stade Raoul Barrière (Béziers).
Après la défaite (22-26) lors de la première journée contre Lyon, Montpellier voudra se relancer à l’extérieur contre Perpignan. Le stade Aimé-Giral, classique enceinte perpignanaise, ne pourra pas accueillir la rencontre de la deuxième journée de championnat. La faute à des travaux toujours en cours qui empêchent la pelouse d’être prête. Aussi, les deux formations s’affronteront samedi 14 au stade Raoul Barrière de Béziers, à 16h30.
Nul doute que des escouades de supporters catalans, habitués aux déplacements, seront de la partie pour que les Sang et Or se sentent comme à la maison, même éloignés de leurs bases. Béziers étant à presque 100 kilomètres de Perpignan. Plus de 11 000 places ont d’ores et déjà été attribuées. Les Usapistes attendront le samedi 28 septembre, et un match contre Clermont, pour de nouveau fouler leur pelouse. En attendant, les joueurs de Perpignan se sont déjà entrainés en Biterre. Sportivement, les hôtes du soir tenteront de se remettre de leur frustrante défaite (21-19) à Bayonne samedi dernier. Ils avaient ramené le point du bonus défensif après avoir mené presque 70 minutes. Sur le terrain, les joueurs avaient semblé dominer et feront office de favoris contre Montpellier. De quoi surprendre les supporters par la défaite au coup de sifflet final.
Les Héraultais doivent encore se remettre de leur désastreuse dernière saison. Cette rencontre peut être l’occasion d’enfin lancer leur campagne 2024-2025. D’autant que les Montpelliérains avaient perdu (20-25) lors de la dernière confrontation qui a opposé les deux écuries. Toutefois, l’indiscipline héraultaise lors de leur performance face au LOU ne laisse rien présager de bon face à une équipe plus confiante mais contre laquelle il faudra lutter pour le maintien. D’autant que l’extra-sportif s’en mêle. Stuart Hogg, une des nouvelles recrues du Montpellier Rugby, était jugé mardi pour violences conjugales. L’international écossais a été libéré sous caution et un nouveau procès a été programmé au 4 novembre. Une histoire qui pourrait peser sur le vestiaire.
Commentaires