Le “Café Oïkos”, situé non loin de la place Saint-Aubin, au cœur de Toulouse, a connu une transformation ces derniers jours, pour devenir “La Petite Robe Noire”. Cette métamorphose ne se limite pas à un simple changement de nom, mais à un tout nouveau concept qui promet une expérience culinaire unique.
Fini le “Café Oïko”s, place désormais à “La Petite Robe Noire” ! L’ancien café de la Cité de la RSE, situé au 32 Rue Pierre-Paul-Riquet à Toulouse, s’est métamorphosé il y a une quinzaine de jours. L’objectif : s’ouvrir au quartier de Saint-Aubin. « Les passants nous assimilaient trop à l’espace de coworking du “Lab’Oïkos” situé juste derrière. Ils pensaient que le restaurant était réservé aux personnes qui travaillaient là », explique Alexandre Séménadisse, cogérant de l’établissement. C’est donc dans une dynamique de valorisation et de changement d’image que cet espace a dû se transformer.
Le salon de thé n’a rien changé à sa carte, avec des pâtisseries fraîches, élaborées sur place, toute la journée. Une cuisine française, composée de plats bistronomiques, est toujours proposée. Le midi, le plat du jour est à 13 euros et la formule entrée/plat/dessert à 20 euros. « La carte changera tous les trimestres afin de mettre à disposition des produits frais et de saison. Nous misons sur une cuisine traditionnelle simple et raffinée avec son lot d’originalité », explique le cogérant.
À travers ce changement de nom, l’établissement, jusque-là ouvert uniquement pour le déjeuner, souhaite aussi étendre ses horaires d’ouverture. Le but : conserver cette image de salon de thé et de point de ralliement des employés pour la pause méridienne, tout en valorisant le côté restaurant de quartier pour le soir. Il est donc désormais possible de venir s’y attabler les jeudis et les vendredis soir, et peut-être bientôt les samedis aussi ! Au menu : ceviche de daurade aux fruits de la passion et carotte gingembre, filet de bœuf accompagné de sa purée de céleris au beurre noisette et jus d’oignons confits, ou encore baba à l’ananas et au poivre de Jamaïque, pour une formule plat/dessert à partir de 21 euros.
La Petite Robe Noire ne se résume pas à un simple restaurant, mais se veut être un véritable lieu de vie. Dans un décor chaleureux aux allures bohème, l’établissement propose des événements thématiques, des brunchs gourmands et des soirées afterwork dans une ambiance musicale élégante. De grandes tables permettent de travailler en journée, mais aussi faire des rencontres le soir devant les assiettes. Un mardi sur deux, la Troupe de la Veille présente un spectacle d’improvisation de 19h à 22h avec entrée libre et participation au chapeau. Et un soir par mois, une formule “menu déstructuré” est proposée, avec un buffet de spécialités et un DJ set.
Ce restaurant s’adresse aux épicuriens en quête d’une expérience mariant plaisir gustatif et convivialité. Pour le gérant : « La Petite Robe Noire évoque l’élégance, la féminité et un brin de mystère. Ce nom énigmatique attire la curiosité et invite à découvrir l’univers raffiné qui se cache derrière ». Et si ce nom a été choisi, ce n’est pas uniquement pour son élégante sonorité. « C’est un clin d’œil au parfum préféré de la cogérante », raconte Alexandre Séménadisse, amusé.
Informations pratiques : La Petite robe noire, 32 Rue Pierre-Paul-Riquet à Toulouse. Téléphone : 05 32 10 80 50. Horaires d’ouverture : le lundi, mardi et mercredi de 7h30 à 19h, le jeudi et le vendredi jusqu’à 22h30 et le dimanche de 7h30 à 16h (fermé le samedi).
Clément Thiery (ISCPA)
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