Les champions de France de Ligue 2 ont également été récompensés à titre individuel ce dimanche 15 mai à l’occasion des Trophées UNFP, la grande cérémonie de prix du football français.
Le TFC n’en a pas fini avec les récompenses. Déjà assurés de retrouver l’élite depuis plusieurs semaines, les désormais champions de France de Ligue 2 ont également brillé lors des Trophées UNFP ce dimanche 15 mai. A commencer par Branco van den Boomen, désigné meilleur joueur du championnat. Auteur de 20 passes décisives et 12 buts en 32 matchs, le Néerlandais arrivait en favori de la grand messe du football français, aux côtés de son coéquipier Rhys Healey, également nominé.
« Je suis très fier. C’est un sentiment incroyable d’être élu meilleur joueur d’un tel championnat. Je suis très heureux, pour ma famille, pour le club… Merci à nos supporters pour leur confiance, cette récompense est aussi la vôtre », a-t-il réagi sur scène, lors de la cérémonie retransmise par La Chaîne L’Équipe. Le milieu de terrain des Violets a égalé le précédent record de passes décisives, détenu par Zinedine Ferhat avec Le Havre depuis la saison 2016/2017.
Autre Toulousain à l’honneur : Philippe Montanier. En concurrence avec Omar Daf (Sochaux), Thierry Laurey (Paris FC), Olivier Pantaloni (AC Ajaccio) et Didier Tholot (Pau), le coach des Violets a empoché le titre de meilleur entraîneur de Ligue 2. Il affiche un bilan 23 victoire, 10 nuls et 5 défaites cette saison.
Symbole de la saison réalisée par les footballeurs toulousains, six d’entre eux figurent par ailleurs dans l’équipe-type de l’année. Outre l’incontournable Branco van den Boomen, Rhys Healey, meilleur buteur du championnat (20 réalisations), et Nathan N’Goumou représentent la meilleure attaque de l’histoire de la Ligue 2 (82 buts en une saison). Ils sont accompagnés de trois défenseurs : Mikkel Desler, Anthony Rouault, Rasmus Nicolaisen. Un joueur manque cependant à l’appel. Maxime Dupé, en lice pour le titre de meilleur gardien, à été devancé par Benjamin Leroy, portier de l’AC Ajaccio.
Yanis Saidi
Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse
Cet article a été écrit par des élèves de l'Institut Supérieur de Journalisme de Toulouse dans le cadre d'un partenariat avec le Journal Toulousain.
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