L’Université Toulouse Capitole est à la 19e place du classement mondial des matières académiques de Shangaï en économie. Ce qui fait d’elle la première université française dans ce domaine académique, d’après ce palmarès.
Elle n’en est pas peu fière. Le “global ranking of academic subjects” (classement mondial des matières académiques, en français) de Shangaï vient d’être publié ce vendredi 27 octobre. Et l’Université Toulouse Capitole est plutôt très bien placée dans ce palmarès réalisé chaque année afin d’évaluer l’engagement des 1000 meilleures universités mondiales dans leurs activités de recherche selon 55 disciplines scientifiques.
En effet, elle se trouve, grâce à la Toulouse School of Economics (TSE) qui est l’une des ses composantes, à la 19e place de ce classement de Shangaï en économie. L’université toulousaine, qui est souvent dans les premières places du palmarès dans ce domaine académique, se tient ainsi aux côtés « des meilleurs établissements mondiaux », tels que l’Université de Chicago, de Princeton, de Harvard ou encore de Cambridge.
« Grâce à la prestigieuse TSE, l’université est au 19e rang mondial : l’excellence du service public est là. Cette reconnaissance repose notamment sur l’excellence académique et scientifique de TSE, et résulte des activités intensives de recherche menées dans nos laboratoires qui bénéficient d’une politique permanente d’incitation et de valorisation », estime Hugues Kenfack, président de l’Université Toulouse Capitole, dans un communiqué de presse. Pour Christian Gollier, directeur général de TSE, « cette performance est le reflet de décennies de travail collectif ».
En plus de figurer dans les 20 premières places de ce palmarès en économie, la faculté toulousaine est la première française dans ce domaine académique. Elle est en effet loin devant Sciences Po Paris et Paris School of Economic qui sont toutes deux classées dans les rangs allant de 101 à 150.
Héloïse Thépaut
Formée à l'ISJT, Héloïse Thépaut est passée par La Tribune et l'Opinion Indépendante avant de rejoindre le Journal Toulousain en 2022.
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