Une braderie Paris 2024 est organisée ce dimanche 6 octobre à Saint-Ouen. De nombreux objets des Jeux seront à retrouver et à petits prix.
Vous rêvez d’avoir une casquette de l’uniforme du staff de Paris 2024 ou une serviette d’athlètes des Jeux Olympiques et Paralympiques (JOP) ? Le tout, à petits prix ? C’est possible ce dimanche 6 octobre à Saint-Ouen à l’occasion de la grande braderie de la ville. En effet, le comité d’organisation de Paris 2024 prendra part à l’événement. Il va ainsi organiser une braderie des Jeux. Paris 2024 en a prévu dans 24 villes françaises au total. Saint-Ouen en fait donc partie.
Lors de cette braderie, dont le lieu précis n’a pas encore été communiqué, collectionneurs et fans pourront trouver leur bonheur parmi « des milliers d’objets qui ont fait les Jeux », tels que « de nombreuses pièces textile (uniformes des volontaires, du staff ou des officiels), des t-shirts (entre 5€ et 10€) des gobelets (1€), les serviettes utilisées par les athlètes (25€), des éléments de décoration des sites, des drapeaux et même des produits des cérémonies… ».
Et ce n’est pas tout. De nombreux autres objets des Jeux seront à retrouver lors de la braderie à Saint-Ouen. Ceux-ci seront également proposés à des prix abordables puisqu’ils seront « tous vendus entre 1€ et 60€, pour les objets les plus exceptionnels », souligne le comité d’organisation. Ce dernier tient toutefois, à préciser que ces souvenirs « sont destinés à un usage personnel, sans vocation commerciale ou financière de revente ».
À noter que c’est la troisième et dernière braderie des Jeux de Paris 2024 qui aura lieu dans le département de la Seine-Saint-Denis. Une occasion à ne pas manquer, donc, pour les collectionneurs et les fans des JOP. Pour rappel, la première braderie des Jeux qui a été organisée en Seine-Saint-Denis s’est tenue le samedi 14 septembre à Saint-Denis et la seconde dans la commune de Pantin le dimanche 22 septembre dernier.
Héloïse Thépaut
Formée à l'ISJT, Héloïse Thépaut est passée par La Tribune et l'Opinion Indépendante avant de rejoindre le Journal Toulousain en 2022.
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