Rendre les écoles plus saines et réduire l’impact de la pollution sur la santé des enfants, c’est l’objectif du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Montpellier. Ce dernier a annoncé, ce jeudi 25 septembre 2025 dans un communiqué, prendre part au projet européen SynAir-G, dont le but est d’examiner l’impact de la qualité de l’air sur la santé des enfants.
« Le CHU de Montpellier s’implique pleinement dans une recherche d’envergure internationale, au service de la santé des enfants », annonce le Centre Hospitalier Universitaire dans un communiqué de presse diffusé ce jeudi 25 septembre 2025. En effet, il s’engage une fois encore pour le bien-être des plus jeunes et participe désormais au projet européen SynAir-G, financé par le programme Horizon Europe, visant à étudier l’impact de la qualité de l’air sur la santé des enfants.
Des capteurs ont donc été installés dans les classes de CM1 des cinq écoles de Montpellier participantes : Heidelberg, Pottier, Bert, Brel et Curie. « Les écoles constituent un cadre d’étude privilégié, car les élèves y passent une grande partie de leur journée » précise le communiqué du CHU.
Ainsi, des questionnaires concernant leur mode de vie seront distribués aux enfants, et des analyses d’urine seront proposées pour évaluer l’impact de l’air intérieur sur leur santé.
Les informations récoltées seront ensuite examinées par l’équipe d’allergologie du CHU de Montpellier. L’objectif : « identifier les élèves susceptibles de développer de l’asthme ou d’autres troubles respiratoires et proposer des solutions pour améliorer la qualité de l’air, comme la mise en place de murs végétalisés agissant comme dépollueurs naturels », est-il expliqué dans le communiqué.
A l’aide de ce projet européen SynAir-G et des résultats à venir, des recommandations pourraient être faite à l’échelle européenne pour favoriser des environnements scolaires plus sains et réduire les risques liés à l’exposition de polluants.
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