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Vous pouvez choisir le design des futures rames de la ligne 18

Nicolas Belaubre

3 décembre 2021 - 14:16

Pendant 15 jours et jusqu’au 15 décembre prochain, la société du Grand Paris et Île-de-France Mobilités proposent aux futurs usagers de la ligne 18 de se prononcer sur le design des rames de métro.

rames métro ligne 18 — Votez pour les futures rames de métro de la ligne 18 © Île-de-France Mobilités

Une lèvre plus ou moins prononcée et une baie avant à la ligne plus ou moins en amande. Les nuances sont minimes. Néanmoins, dès ce mercredi 1er décembre et jusqu’au mercredi 15 décembre, une grande consultation, lancée par la société du Grand Paris et Île-de-France Mobilités, permet aux franciliens de se prononcer sur le design des rames de métro qui circuleront sur la future ligne 18.

Des rames qui pourront atteindre 100 km/h

Les 37 rames automatiques qui équiperont la ligne 18 seront construites par le groupe français spécialisé dans le transport ferroviaire Alstom. Ces métros de grande capacité pourront embarquer jusqu’à 350 personnes (toutes les trois minutes aux heures de pointe) et pourront atteindre la vitesse maximale de 100 kilomètres/heure. Les premières rames seront livrées en 2024 pour une mise en circulation progressive au cours de l’année 2025.

Un contrat de 400 millions d’euros

La construction de ces rames s’inscrit dans le cadre d’un contrat passé avec la Société du Grand Paris et l’opérateur de transports publics Île-de-France Mobilités d’un montant de 400 millions d’euros. Ce contrat inclut la livraison des postes de commandes centralisés ainsi que la construction de 10 gares et stations.

Réalisée dans le cadre du projet Grand Paris Express, la future ligne 18 desservira plusieurs communes des Hauts-de-Seine : Nanterre, Rueil-Malmaison et Antony. La ligne continuera son trajet jusqu’à l’aéroport d’Orly dans le Val-de-Marne en passant par les Yvelines.

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Nicolas Belaubre

Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.

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