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Covid-19 : Le Tarn-et-Garonne, parmi les départements les moins touchés d’Occitanie

Alix Drouillat

13 décembre 2021 - 12:32

Alors que la cinquième vague de Covid-19 frappe l’ensemble de la France, dans le Tarn-et-Garonne, le taux d’incidence s’élève actuellement à 441 cas pour 100 000 habitants.

L’épidémie de la Covid-19 poursuit sa décrue en Ariège Tarn-et-Garonne — Les contaminations à la Covid-19 augmentent dans le Tarn-et-Garonne

La situation épidémique actuelle inquiète l’ensemble des territoires. Dans le Tarn-et-Garonne, le taux d’incidence de la Covid-19 s’élève à 441 cas pour 100 000 habitants. Un chiffre inférieur à la moyenne nationale, fixée à 501 cas pour 100 000 habitants sur les sept derniers jours, mais également à la moyenne régionale, de 542 cas pour 100 000 habitants.

En Occitanie, malgré un fort rebond de l’épidémie, le Tarn-et-Garonne fait pour l’instant partie des départements les moins impactés par la cinquième vague, de même que le Tarn et la Lozère. Toutefois, environ 165 cas de contaminations sont détectés quotidiennement et le taux de positivité des tests est de 6,1 %. Pour rappel, le port du masque reste obligatoire en extérieur pour les personnes âgées de 11 ans et plus, au moins jusqu’au 15 décembre prochain.

33 personnes sont actuellement hospitalisées pour Covid-19

La tension hospitalière est de 72 % dans le Tarn-et-Garonne. Si elle dépasse les 100 %, cela voudra dire que les patients atteints de la Covid-19 occupent plus de lits de réanimation qu’il n’y en avait avant l’épidémie. Un chiffre qui ne laisse pas percevoir de saturation, mais l’Agence Régionale de Santé (ARS) a récemment rappelé que le personnel soignant faisait actuellement face à un afflux conséquent de patients touchés par les maladies d’hiver, entraînant la surcharge des services.

33 personnes contaminées par le virus sont hospitalisées, dont 13 dans les services de soins critiques et de réanimation. Pour rappel, jeudi dernier, l’ARS a demandé à tous les établissements de santé, publics comme privés, de déclencher le “plan blanc”. L’objectif est de permettre aux structures de soins d’augmenter le nombre de lits en réanimation et de déprogrammer les opérations “non-urgentes”.

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Alix Drouillat

Après avoir étudié le journalisme trois ans à Toulouse, Alix fait désormais partie de l’équipe du Journal Toulousain en parallèle de son cursus à l’ESJ Pro de Montpellier.

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