Seuls 17 députés sortants, dont la plupart sont issus du mouvement pour la majorité présidentielle, ont été réélus en Occitanie. En effet, comme au niveau national, la coalition Ensemble a connu une déroute sans précédent et perdu une bonne partie de ses sièges à l’Assemblée nationale. Avec 15 élus, c’est le Rassemblement national qui s’impose dans la région, devant les deux coalitions Ensemble (14 élus) et la Nouvelle union populaire écologique et sociale (14 élus).
15 députés en Occitanie pour Rassemblement national
Avec 15 députés élus en Occitanie contre seulement 3 en 2017, c’est le Rassemblement national qui réalise la meilleure performance de ce second tour des élections législatives au niveau régional.
Christophe Barthès : 1ère circonscription de l’Aude
Frédéric Falcon : 2e circonscription de l’Aude
Julien Rancoule : 3e circonscription de l’Aude
Yoann Gillet : 1re circonscription du Gard
Nicolas Meizonnet : 2e circonscription du Gard
Pascal Bordes : 3e circonscription du Gard
Pierre Meurin : 4e circonscription du Gard
Stéphanie Galzy : 5e circonscription de l’Hérault
Aurélien Lopez Liguori : 7e circonscription de l’Hérault
Sophie Blanc : 1ère circonscription des Pyrénées-Orientales
Anaïs Sabatini : 2e circonscription des Pyrénées-Orientales
Sandrine Dogor-Such : 3e circonscription des Pyrénées-Orientales
Michèle Martinez : 4e circonscription des Pyrénées-Orientales
Frédéric Cabrolier : 1re circonscription du Tarn
Marine Hamelet : 2e circonscription du Tarn-et-Garonne
14 députés pour la majorité présidentielle
Grande perdante de ces élections législatives, la coalition Ensmble perd 21 sièges dans la région et devra se contenter de 14 députés locaux pour soutenir la politique d’Emmanule Macron dans la chambre basse du parlement.
Stéphane Mazars : 1ère circonscription de l’Aveyron
Jean-François Rousset : 3e circonscription de l’Aveyron
Philippe Berta : 6e circonscription du Gard
Jean-René Cazeneuve : 1ère circonscription du Gers
Corinne Vignon : 3e circonscription de la Haute-Garonne
Jean-François Portarrieu : 5e circonscription de Haute-Garonne
Monique Iborra : 6e circonscription de Haute-Garonne
Dominique Faure : 10e circonscription de Haute-Garonne
Benoît Mournet : 2e circonscription des Hautes-Pyrénées
Patricia Miralles : 1ère circonscription de l’Hérault
Laurence Cristol : 3e circonscription de l’Hérault
Patrick Vignal : 9e circonscription de l’Hérault
Huguette Tiegna : 2e circonscription du Lot
Jean Terlier : 3e circonscription du Tarn
14 députés pour la Nupes
Avec 15 députés contre 6 en 2017, la gauche unie sous la bannière de la Nupes réalise une forte progression. Néanmoins, cette percée sera insuffisance pour renverser la majorité présidentielle et, comme le souhaitait Jean-Luc Mélenchon, imposer un gouvernement de cohabitation. À noter que deux candidats initialement investis par la Nupes ont finalement été étiquetés divers gauche.
Bénédicte Taurine : 1ère circonscription de l’Ariège
Laurent Alexandre : 2e circonscription de l’Aveyron
Michel Sala : 5e circonscription du Gard
Hadrien Clouet : 1ère circonscription de Haute-Garonne
Anne Stambach-Terrenoir : 2e circonscription de Haute-Garonne
François Piquemal : 4e circonscription de Haute-Garonne
Christophe Bex : 7e circonscription de Haute-Garonne
Christine Arrighi : 9e circonscription de Haute-Garonne
Sylvie Ferrer : 1re circonscription des Hautes-Pyrénées
Nathalie Oziol : 2e circonscription de l’Hérault
Sébastien Rome : 4e circonscription de l’Hérault
Sylvain Carriere : 8e circonscription de l’Hérault
Karen Erodi : 2e circonscription du Tarn
Valérie Rabault : 1re circonscription du Tarn-et-Garonne
Députés issus d’autres partis
Laurent Panifous (Divers gauche) : 2e circonscription de l’Ariège
David Taupiac (Divers gauche) : 2e circonscription du Gers
Joel Aviragnet (Divers gauche) : 8e circonscription de Haute-Garonne
Emmanuelle Ménard (Extrême droite) : 6e circonscription de l’Hérault
Aurélien Pradié (LR) : 1ère circonscription du Lot
Pierre Morel a L’Huissier (UDI) : 1re circonscription de Lozère
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Nicolas Belaubre
Nicolas Belaubre a fait ses premiers pas de journaliste comme critique de spectacle vivant avant d’écrire, pendant huit ans, dans la rubrique culture du magazine institutionnel ‘’à Toulouse’’. En 2016, il fait le choix de quitter la communication pour se tourner vers la presse. Après avoir été pigiste pour divers titres, il intègre l’équipe du Journal Toulousain, alors hebdomadaire de solution.
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