24 Septembre 2025
24 Septembre 2025
Comme tous les matins, des bouchons sont à déplorer sur les axes routier de l’agglomération toulousaine. Bison Futé enregistrait à 8h des embouteillages entre 2 et 7 kilomètres ce mercredi 24 septembre 2025. Le Journal Toulousain fait le point sur les conditions de circulation.
A l’Ouest de Toulouse : La situation s’améliore sur la route nationale 124. Le bouchon de plus de 2 kilomètres enregistré dans la matinée de ce mercredi 24 septembre 2025, dans le sens Langon – Toulouse, entre Pibrac et Colomiers, est en train de se dissiper. Les automobilistes sont maintenant bloqués sur un peu moins d’un kilomètres. C’est un peu plus loin, sur l’A624, entre Colomiers et Toulouse que des embouteillages s’étendent sur 2 kilomètres.
Au Nord de Toulouse : La circulation est difficile en direction de l’aéroport de Blagnac. Un bouchon d’un peu plus d’un kilomètres a été recensé par Bison Futé à partir de 8h sur l’A621, dans le sens Est-Ouest. Plus haut, du côté de l’A62, dans le sens intérieur de Bordeaux vers Toulouse, la circulation est au ralenti sur 5 kilomètres à cause du rétrécissement des voies.
Toujours sur l’A62, mais dans le sens extérieur de Toulouse vers Bordeaux, un bouchon de plus de 5 kilomètres s’est formé. La circulation est également impacté par un rétrécissement des voies. Plusieurs ralentissements sont à déplorer : sur l’A68 de Albi vers Toulouse et sur l’A61 de Toulouse vers Narbonne. Sur cet axe routier, le trafic est perturbé sur près de 4 kilomètres.
A l’Est de Toulouse : A partir de 7h30, le trafic a ralenti sur l’A61, dans le sens intérieur de Toulouse vers Narbonne. La circulation est perturbée par le rétrécissement des voies sur près de 3 kilomètres.
Au Sud de Toulouse : Près de 4 kilomètres de bouchon ont été enregistrés par Bison Futé à partir de 8h sur l’A620, dans le sens intérieur de Toulouse sud vers Toulouse nord. Du côté de l’A64, dans le sens Bayonne – Toulouse, c’est maintenant un bouchon de plus de 7 kilomètres qui s’est formé entre Roques et Toulouse. En cause : le rétrécissement des voies.
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