De son vrai prénom Hugo, le DJ toulousain Ekiz monte en puissance et conquiert l’international grâce à ses vidéos partagées sur Instagram. Un parcours loin d’être évident dans un milieu très concurrentiel.
Marrakech, Montréal ou encore New York… À tout juste 23 ans, Ekiz marche sur les pas des plus grands DJs dans la musique électronique. Tout commence dans sa chambre, avec des vidéos YouTube. Sa passion naît grâce aux parents de ses amis, qu’il côtoie après l’école. Peu à peu, il commence à poster des mixes sur Instagram. “J’aime trouver des concepts innovant sur mes réseaux sociaux”, confie-t’il.
Mais c’est après le confinement que les premières sollicitations apparaissent. Conscient de l’importance du réseau dans le milieu, il décide de travailler comme serveur à l’Envol, un club toulousain, pour nouer des contacts. L’Envol, l’Ubu ou encore le Pampa finissent par lui ouvrir leurs portes pour qu’il puisse s’exprimer derrière les platines. Grâce à ses prestations réussies dans ces lieux emblématiques toulousains et à son contenu sur la plateforme Instagram, le jeune homme gagne en visibilité et attire les DJs à l’étranger. Ils le contactent, et très vite, Ekiz se produit à l’international. x
Marrakech, New York et Montréal lui offrent ainsi des opportunités de jouer dans des clubs hors des frontières de l’Hexagone. L’an dernier, il participe au Moorea Festival de Tours avec son acolyte Pablo au saxophone, duo qui trouve sa place dans un club toulousain : “Le duo est incroyable à chaque fois”. Ekiz se reproduira en juin de cette année à ce même festival. Les projets continuent pour Hugo dont un festival en septembre : “Je ne peux pas encore dévoiler pour l’instant”, conclue t-il.
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