Voici le récap d’actu de la semaine passée avec les infos qu’il ne fallait pas manquer. Au programme : le NPA de Haute-Garonne soutient les candidats de la France Insoumise, imbroglio dans les investitures Nupes de la 8e circonscription de Haute-Garonne, le permis de construire de Val Tolosa à nouveau retoqué en appel, et pas d’annulation du permis de construire de la tour Occitanie.
Le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) présente 12 candidats aux législatives 2022 sur l’ensemble du territoire français. Le parti avait annoncé début avril qu’il ne prendrait pas part à la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes). Dans les circonscriptions de Haute-Garonne, le NPA soutient « les candidats de gauche de rupture de la Nupes ». Dans la pratique, seuls les candidats La France Insoumise obtiennent les bonnes grâces des anticapitalistes. Toutes les explications et la liste des candidats soutenus.
Dans la 8e circonscription de Haute-Garonne, Europe Écologie-Les Verts et La France Insoumise ont engagé une candidature dissidente à Joël Aviragnet. Le candidat socialiste investi par la Nupes affiche des soutiens clairement opposés aux accords d’union de la gauche. Au sein de l’alliance la confusion est telle que le site officiel de la Nupes a purement et simplement supprimé la 8e circonscription de sa liste de candidatures. Les détails et les interviews dans l’article.
Le permis du méga centre commercial Val Tolosa, prévu à Plaisance-du-Touch, a été annulé par la cour administrative d’appel de Toulouse, mercredi 25 mai. Il s’agit du troisième permis de construire de ce projet à être annulé par la justice. C’est donc une nouvelle victoire pour les opposants à ce projet lancé dans les années 2000. Les raisons du refus dans l’article.
Le tribunal administratif de Toulouse a confirmé, jeudi 2 juin, la légalité du permis de construire de la tour Occitanie. Les opposants au projet, quatre associations et trois particuliers envisagent de contester cette décision. Le projet en question : ériger un gratte-ciel de 150 mètres à quelques pas de la Gare Matabiau, à Toulouse. Le JT développe les motivations du tribunal et la suite des évènements.
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