Pour la 14e année consécutive, L’Etudiant publie son classement des villes où il fait bon étudier. Et Toulouse trône fièrement à la première place des villes étudiantes, comme l’année dernière.
©KevinFiguier/JTComme chaque année, depuis 14 ans, le magasine L’Etudiant publie son classement des villes étudiantes. La rédaction du média spécialiste de la formation, des études et des métiers à destination des 15-25 ans, a mis en compétition une quarantaine de villes universitaires en comparant de nombreux critères. Logement, nombre de cursus différents, sports, sorties, culture, transports… Autant d’indicateurs de la qualité de vie qu’une ville peut offrir à ses étudiants.
Et cette année encore, Toulouse arrive en tête de ce classement des villes étudiantes, devant Lyon et Rennes. Sur 44 villes françaises, elle termine première en terme “d’emploi” et de “vie étudiante”, troisième en ce qui concerne les offres de “formations”, quatrième pour “l’attractivité” et neuvième pour son “cadre de vie”.
Ce classement prend uniquement en compte les besoins essentiels des étudiants, et observe si les offres correspondantes figurent en nombre assez important dans une ville. Ainsi, L’Etudiant s’avise du nombre de formations, de leur qualité et de leur diversité. Le magasine s’intéresse également aux logements pour savoir s’ils sont assez nombreux et suffisamment abordables pour les étudiants. Les journalistes analysent le réseau de transports en commun pour en évaluer l’efficacité et l’accessibilité financière. De même, la rédaction se penche sur le programme culturel qui doit être riche et varié, tout comme le marché de l’emploi, qui doit être important et dynamique. Pour terminer, l’attractivité de la ville pour les étudiants européens du programme Erasmus y est aussi passé au crible.
Un total exhaustif de 16 critères, dont les données sont recueillies sur les data base publiques. Et cette année, deux nouveaux indicateurs, pour lesquels les étudiants se disent sensibles, ont fait leur apparition: la présence de transport de nuit et la qualité de l’air.
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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