Accueil › Les brèves du JT › Monolithe : des réponses à Toulouse

Monolithe : des réponses à Toulouse

Léo Molinié

12 décembre 2020 - 13:00

Depuis quelques semaines, des monolithes apparaissent un peu partout à travers le monde. Qui se cache derrière ? Pourquoi ? Beaucoup de questions et peu de réponses. À Toulouse, on tient une piste.

La Base de Loisirs Pech David, Rangueil.Crédit Photo : Pierre Selim Huard / CC BY 3.0

C’est une enquête désormais mondiale. Depuis quelques semaines, des monolithes apparaissent un peu partout à travers le monde. Qui est derrière cela ? Et pourquoi ? Difficile de le dire, alors des internautes mènent l’enquête.

La première apparition a eu lieu au mois de novembre au Etats-Unis. Dans le désert de l’Utah, un bloc en aluminium a été retrouvé. Rapidement, l’affaire fait le tour des médias outre-Atlantique. Il faut dire que la ressemblance avec les objets du film 2001 l’Odyssey de l’espace de Stanley Kubrick est frappante. Pour certain, pas de doute, il s’agit là d’une intervention extra-terrestre.

L’affaire a désormais pris une tournure mondiale. Car depuis des monolithes similaires ont été retrouvé un peu partout dans le monde. Que ce soit en Roumanie, en Pologne ou en France les mêmes questions se posent. Dans l’hexagone, le monolithe a été trouvé à Toulouse. Sur les hauteurs de Pech David plus précisément. Dessus, de drôles de chiffres : 12 – 13 / 06 43°34’22.7″N 1°22’46.3″E. En réalité, des coordonnés GPS.

Car si certains monolithes restent mystérieux, à Toulouse, des réponses ont été trouvées. Derrière cette structure : le Brick Festival. Les organisateurs de l’événement ont surfé sur la vague afin de promouvoir le festival. Un jeu de piste de courte durée puisque le monolithe a disparu en seulement quelques heures. Où est-il passé ? Il s’agit pour le coup d’un véritable mystère puisque même les propriétaires en sont à la recherche.

#Toulouse has its first monolith! Appeared today, 9th December, on Pech David hill. #monolith #france #puremetal pic.twitter.com/QprsvY7LCp

— Simon Oliver (@SimonOliver) December 9, 2020