Le club Olympien annonce l’arrivée d’une nouvelle recrue en vue de la saison 2016 de League One : Tyla Hepi, jeune et solide avant disposant de la double nationalité anglo-néo zélandaise.
Après Rhys Curran et Bastien Canet arrivés au TO l’été dernier déjà, le staff du Toulouse Olympique cherchait depuis quelques temps à enrôler une troisième et dernière recrue afin de densifier encore un peu plus son paquet d’avants et ainsi compléter définitivement l’effectif de l’équipe fanion. Cependant, la volonté première de l’entraîneur Sylvain HOULES était de ne pas se précipiter et de recruter un joueur qui serait vraiment capable d’apporter un réel plus au collectif. Tyla Hepi, qui arrive sur les bords de la Garonne dès la semaine prochaine, répond à ces critères.
Né à Auckland (NZ) il y a 22 ans, c’est en Angleterre que Tyla Hepi a fait ses classes. Passé par l’Academy du club des Hull Kingston Rovers (équivalent du Centre de Formation Outre Manche), ce joueur capable de couvrir tous les postes du pack a disputé 6 matchs de Super League avec les Robins en 2013, alors qu’il n’avait que 20 ans. Après être retourné dans l’Hémisphère Sud pour prendre part à la très relevée New South Wales Cup (antichambre de la NRL) avec les Wyong Roos, il est revenu au Royaume de Sa Majesté en 2015 pour jouer le Championship avec Whitehaven. Une saison pleine puisqu’il aura joué 31 matchs sous le maillot des Haven, en remportant au passage 6 fois le titre d’homme du match.
Au niveau de la préparation à la saison à venir, Tyla ne devrait pas accuser trop de retard par rapport à ses nouveaux coéquipiers puisque, jusqu’à maintenant, il faisait partie de l’effectif des New Zealand Warriors, seule franchise Kiwi de NRL, avec il effectuait sa pré-saison.
C’est grâce à sa puissance et son explosivité que Tyla a su séduire le staff Bleu et Blanc. De plus, ce joueur très talentueux dispose encore d’une large marge de progression. L’ensemble du club Olympien se réjouit de ce renfort de qualité et souhaite la bienvenue à Tyla.
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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