Le prix Claude Nougaro récompense les jeunes plumes
Comme chaque année au mois de mai auront lieu les remises du prix Claude Nougaro, organisé par le Conseil régional d’Occitanie. Un concours qui permet aux 17-25 ans d’éprouver leur talent à travers l’écriture.
© La Région OccitaniePermettre aux jeunes d’exprimer leur talent. C’est là toute l’ambition de Martin Malvy, ancien président de Région, et Hélène Nougaro, épouse du défunt artiste, lorsqu’ils créent conjointement le prix Claude Nougaro en 2006. À l’image du chanteur toulousain pour qui elle était un art majeur, le concours met l’écriture à l’honneur. Au travers de quatre catégories différentes, les 17-25 ans viennent y démontrer que « contrairement aux idées reçues, ils ont le goût des mots et des belles formules », constate Dominique Salomon, vice-présidente du Conseil régional en charge de la culture.
Ce concours est l’occasion pour les candidats de se frotter une première fois à un œil – ou une oreille – averti de professionnels objectifs. Qu’il s’agisse de la rédaction d’une nouvelle, d’une bande dessinée, d’un scénario de court-métrage ou de paroles de chanson, les participants doivent présenter une œuvre inédite, en français, sur un thème libre. « Et je suis étonnée d’observer la qualité d’écriture de ces jeunes qui affichent une grande maturité.
Un prix révélateur de talents
Chez certains, il ne manque pour émerger qu’un soupçon de confiance en eux et un effort sur la technique d’écriture », constate Dominique Salomon. Comme cela a été le cas pour Bigflo & Oli ou Scarecrow, passés par le Prix Claude Nougaro.
D’ailleurs, si le jury est séduit, les récompenses décernées répondent à ce besoin de perfectionnement. Cette année, un iPad et des accompagnements professionnels tels que des ateliers d’écriture et l’édition ou l’enregistrement de leur production. « Si le prix Claude Nougaro n’est qu’un petit maillon de leur potentielle évolution de carrière, c’est tout de même une première marche qu’il est souvent difficile de gravir », explique l’élue régionale. Et surtout la reconnaissance d’un talent par des professionnels de la culture.
Severine Sarrat
Au journal depuis 2008, elle en connaît tous les rouages. D’abord journaliste polyvalente, puis responsable des pages économiques, elle est aujourd’hui rédactrice en chef.
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