29 Mai 2025
29 Mai 2025
40 nouvelles cités éducatives ont été labellisées, dont 6 se trouvent en Essonne. Une labellisation dont se réjouissent les maires des communes sélectionnées.
40. C’est le nombre des nouvelles cités éducatives qui viennent d’être labellisées pour trois ans, précisément de 2025 à 2027. Une annonce faite par Élisabeth Borne, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et Juliette Méadel, ministre déléguée chargée de la Ville. Pour rappel, ce programme « vise à renforcer la coopération de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative pour mieux accompagner les parcours des enfants et des jeunes de 0 à 25 ans ». Il bénéficie déjà à 261 communes.
« Le dispositif des Cités éducatives, financé par la politique de la ville à hauteur de 82 millions d’euros en 2025, incarne une vision ambitieuse et collective de l’éducation, qui dépasse les murs de l’école pour irriguer l’ensemble du parcours de nos enfants et de nos jeunes, de la petite enfance jusqu’à l’insertion professionnelle », déclare Juliette Méadel, dans un communiqué, avant d’ajouter : « Nous franchissons une étape importante en annonçant l’extension de ce label exigeant et ambitieux à 40 nouveaux territoires ».
Parmi ces 40 nouvelles cités éducatives, six se trouvent en Essonne. Cela concerne les Ulis, Longjumeau, Massy, Savigny-sur-Orge, Vigneux-sur-Seine et Viry-Châtillon. Une annonce qui a réjoui les maires de ces communes. C’est le cas de celui de Savigny-sur-Orge, Alexis Teillet, qui déclare : « Avec cette labellisation, nous franchissons une nouvelle étape pour l’éducation, l’égalité des chances et l’accompagnement de la jeunesse à Savigny-sur-Orge. Cette reconnaissance nationale est aussi une impulsion nouvelle pour bâtir une éducation partagée, innovante et ambitieuse. »
Quant au maire de Viry-Châtillon, Jean-Marie Vilain, il estime : « Cette labellisation est un soutien important de l’État à notre politique en faveur de la mixité sociale et de la réussite éducative dans l’ensemble des quartiers de la Ville. Nous espérons maintenant que les financements soient à la hauteur de nos ambitions. Quelle que soit son origine sociale, un jeune doit en effet avoir les mêmes chances de réussite. C’est la promesse de la République que l’État, le Département et la municipalité pourraient ainsi honorer avec ces financements, et nous nous en réjouissons. »
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