L’équilibre
Désormais le monde est ouvert et si l’on tient compte de la théorie de l’équilibre, rien ne pourra plus empêcher que de puissants courants viennent perturber les peuples pour tendre à l’unification des économies encore si différentes aujourd’hui. Si les peuples riches ont pu profiter de l’ignorance et de l’inorganisation des peuples pauvres, on constate désormais que ces derniers tendent à s’approprier et c’est un paradoxe, ce qui leur appartient. Les pays en voie de développement échangent leurs richesses contre nos technologies qui peu à peu leur permettront de se hisser au niveau de culture et de connaissances qui sont les nôtres. Certes, il reste encore beaucoup à faire tant les déséquilibres étaient importants, mais l’essentiel est de veiller à ce que cette mutation se fasse à un rythme tel pour que soient évités des conflits qui ralentiraient encore un processus inévitable. Car il faut bien en convenir, et la nature en est parfois la terrible démonstration, c’est à vouloir trop vite aller vers l’équilibre que surviennent les catastrophes. Désormais les cartes sont distribuées au niveau mondial, le bien-être s’installe peu à peu même s’il reste encore beaucoup à faire pour faire reculer la misère et fournir aux hommes l’essentiel. Mais il faut surtout veiller à ce que ce bien-être n’entraîne pas d’autres déséquilibres, comme par exemple la surpopulation ou la surconsommation au détriment des potentialités terrestres. Cela est tout simplement du domaine de la sagesse. Il nous appartient à tous d’y accéder.